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Les huit suites de poèmes qui composent ce livre ont en commun d’avoir eu, comme point de départ, une ou plusieurs circonstances, parfois amoureuses. Écrire de la poésie répond ici au simple et (peut-être faussement) naïf désir de garder trace d’un événement, d’une rencontre, d’un lieu, avant qu’il ou elle ne coagule en souvenir. D’où l’impression de fragilité que l’on peut ressentir en lisant ces poèmes. L’impression, aussi, qu’il s’agit pour certains d’entre eux d’une tentative de conjuration : pour enrayer, en quelque sorte, une perte, un échec, une déception. Déplacer un peu le temps touche par son dosage singulier entre légèreté et gravité, par la tension qu’il installe entre elles, ainsi que par l’acuité de l’observation de ce qui se joue entre les êtres.
Comment parler une autre langue sans l’apprendre,
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Éric Houser :
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Déplacer un peu le temps |
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